Les revenus des pays pauvres s'assèchent
La crise économique dont les pays développés sont les principaux acteurs ne s’étend pas seulement sur leurs terres : les pays en voie de développement voient leurs richesses menacés. Outre la baisse des prix des matières premières et donc des revenus des exploitants agricoles, il existe trois autres facteurs de transmission de la crise des pays développés aux pays en voie de développement :
- Les investissements directs à l’étranger (IDE) se font de moins en moins important et les investisseurs privés rapatrient leurs capitaux.
- Les transferts des travailleurs émigrés sont eux aussi touché. Les émigrés doivent faire face à des suppressions d’emplois car ils travaillent généralement dans des emplois non qualifiés.
- L’aide publique au développement instauré afin d’aider les pays en difficultés risque d’être fortement diminué au motif de la situation précaire des pays développés.
Les nombreux flux de marchandises, financiers, de services qu’effectuent les pays développés participent à ce que l’on appelle « la mondialisation ». Cependant le contexte mondial peut être remis en cause car les pays développés choisissent d’échanger entre eux au détriment des pays en voie de développement. Ces « oubliés » ne sont pourtant pas épargné par la crise alors qu’ils n’en sont pas les auteurs. Ce statut montre une nouvelle fois que les pays en voie de développement sont dépendants et ne peuvent pas lutter contre les pays développés. C’est peut être ce qui pousse ces derniers à ne pas leur donner d’aide suffisante…
[ Effectuer à partir d'un article du monde, hors série situation du monde 2009]
- Les investissements directs à l’étranger (IDE) se font de moins en moins important et les investisseurs privés rapatrient leurs capitaux.
- Les transferts des travailleurs émigrés sont eux aussi touché. Les émigrés doivent faire face à des suppressions d’emplois car ils travaillent généralement dans des emplois non qualifiés.
- L’aide publique au développement instauré afin d’aider les pays en difficultés risque d’être fortement diminué au motif de la situation précaire des pays développés.
Les nombreux flux de marchandises, financiers, de services qu’effectuent les pays développés participent à ce que l’on appelle « la mondialisation ». Cependant le contexte mondial peut être remis en cause car les pays développés choisissent d’échanger entre eux au détriment des pays en voie de développement. Ces « oubliés » ne sont pourtant pas épargné par la crise alors qu’ils n’en sont pas les auteurs. Ce statut montre une nouvelle fois que les pays en voie de développement sont dépendants et ne peuvent pas lutter contre les pays développés. C’est peut être ce qui pousse ces derniers à ne pas leur donner d’aide suffisante…
[ Effectuer à partir d'un article du monde, hors série situation du monde 2009]